Le cyclisme évolue et RAPHA s’engage pour accompagner ces évolutions qui passent par une participation de plus en plus importante des femmes. Lael Wilcox
C’est une excellente nouvelle : Laël WILCOX et Sarah STURM rejoignent le collectif d’athlètes de haut niveau que constituent RAPHA dans l’objectif de promouvoir et développer le cyclisme féminin.
La contribution de Rapha au cyclisme féminin
Pour RAPHA, le cyclisme féminin n’est pas une opportunité commerciale. Depuis ses débuts en 2004, la marque est engagée auprès des femmes en proposant systématiquement des collections femmes dans son catalogue. D’ailleurs, les cuissards sont considérés comme les plus adaptés aux besoins des femmes, par exemple.
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Magali ROCHETTE, coureure cycliste Canadienne, spécialiste du cyclo-cross, l’équipe UCI CANYON SRAM RACING font parties de cette liste de sportives partageant, avec RAPHA, une vision d’un sport ouvert davantage aux femmes.
C’est ainsi que la fondation RAPHA promeut le message “ouvrir la voie à l’avenir du cyclisme”. Elle finance 10 projets à travers le monde qui visent à inspirer, à lancer et à encourager la prochaine génération de cyclistes, de coureurs et de coureures issus de communautés sous-représentées. Cette fondation soutient
- La Fondation HELEN 100 est pilotée par Helen WYMAN pour permettre à de jeunes femmes de mener une carrière dans la discipline du cyclo-cross.
- La Fondation Amy D créée en souvenir d’Amy DOMBROSKY dans le but d’accompagner la pratique cycliste de femmes talentueuses.
Laël WILCOX et Rapha
S’il ne faut plus présenter Laël WILCOX dans le milieu de l’ultra cycling, sa notoriété reste relative dans le milieu général du cyclisme. Et pourtant, considérée comme l’une des meilleures cyclistes d’ultra-endurance au monde, elle possède un palmarès impressionnant. En 2016, elle remporte la Trans Am ; en 2015, elle établit le record femme sur le Tour Divide ; elle remporte le Hope 1000.
Laël découvre tardivement le vélo, en 2008, à l’âge de 20 ans, en faisant un Tour du monde à vélo. 160 000 km pour se convaincre que rien n’est impossible et qu’une fois passée la porte de la maison, c’est tout un univers qui s’ouvre à soi. Quand elle ne pédale pas, Laël développe des programmes pour permettre aux plus jeunes de se lancer … à l’aventure. Car ce n’est pas la performance qui l’intéresse mais la satisfaction d’y aller, de se lancer, de s’engager.
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Et maintenant, c’est avec RAPHA qu’elle va vivre de nouvelles aventures.
«Je suis inspiré par la narration de Rapha. À la fois, le cyclisme peut être à la fois sérieux et beau, il peut donner le sourire malgré les difficultés et permettre de s’épanouir tout en repoussant nos limites. L’équipe de Rapha est motivée à faire rouler à vélo toujours plus de monde, à faire du cyclisme le sport le plus populaire au monde. Je suis personnellement motivé pour encourager davantage de femmes et de filles à sortir. Nous sommes sous-représentés, mais cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas capables. Plus il y a de femmes à vélo, plus il existe davantage de modèles de rôles individuels de possibilité. Le cyclisme est un outil que j’ai utilisé pour renforcer la confiance, me sentir bien dans ma peau, voir le monde, travailler mes pensées, réaliser des rêves, faire de nouveaux et voir un avenir plein d’espoir. “
Et nous partageons ce point de vue.
Sarah STURM
Sarah STURM est la seconde à recevoir le soutien de RAPHA. Et quand on découvre son histoire, on comprend pourquoi le lien RAPHA/STURM s’est créé.
Sarah Sturm n’est vraiment pas une cycliste professionnelle comme les autres. Arrivée tard dans ce sport, elle a commencé à rouler à l’université et a très vite connu des succès sur route, mais elle s’est rendue compte que le monde ultra compétitif de la course cycliste n’était pas fait pour elle. Quelques années se sont écoulées avant qu’elle n’envisage de revenir à fond au vélo : cette seconde fois, elle a écouté son cœur et décidé de se consacrer au cyclisme hors-route. Rien qu’en 2019, Sarah a fini sur le podium de la Belgian Waffle Ride, de la SBT GRVL, et de la Sea Otter Classic. Elle a aussi remporté deux fois le titre de championne des États-Unis de cyclocross en single speed (mono vitesse).
Malgré ces consécrations, ce qui continue de motiver Sarah à courir, c’est son son intérêt pour les autres. En dehors de son travail et de ses engagements sur des courses, elle consacre beaucoup de temps à coacher son ex équipe universitaire de Fort Lewis, à Durango.
«Je suis si heureuse de travailler avec Rapha, c’était un grand pas pour moi et j’ai été accueillie avec créativité et ouverture. Les choses qui sont importantes pour moi, la conscience environnementale, l’égalité, la conception et le processus sont toutes parties de la conception de Rapha. J’attends avec impatience l’année à venir, de nouveaux designs, projets et aventures, c’est réconfortant et motivant de savoir que j’ai le soutien de Rapha juste à côté de moi”
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